Les êtres humains ont des systèmes de croyance plus ou moins ouverts et plus ou moins rigides.
Devant l’inconnu, il y a des attitudes radicalement différentes : Il y a le rejet pur et simple de la nouveauté car en tant que nouveauté, elle fait peur s’il s’agit d’une nouvelle façon de penser (et non pas d’un nouveau shampoing par exemple qui ne remet absolument rien en question).
Il y a l’attitude qui consiste à vouloir faire entrer l’inconnu à l’intérieur de ce que nous connaissons déjà (comme celui qui veut à toutes forces comprendre la physique quantique à la lumière de ses connaissances sur la physique euclidienne).
Il y a aussi l’attitude de celui qui est disposé à examiner une nouveauté sans à priori et qui décidera après s’il l’adopte ou la rejette.
Le monde est perçu à travers ces systèmes de croyance. C’est très rassurant de projeter notre vision sur le monde, cela nous évite de nous aventurer dans des zones inconnues. Mais c’est aussi très limitant.
De nombreuses études ont montré que plus un médicament est donné par un personnel élevé dans la hiérarchie médicale, plus il est efficace. Pourtant, c’est le même médicament…
C’est le « capital confiance » qui est en jeu, donc le crédit qu’on accorde à tel diplôme ou telle fonction.
Comment un son que je n’entends pas peut-il m’aider à réduire mon stress et à mieux dormir ?
Le mental veut se rassurer avec des explications qui, de toutes façons, seront incomplètes. A qui et à quoi accordons nous de la confiance ? Il y a quelques années, des marques passaient à la télévision puis communiquaient dans la presse écrite avec un gros pavé : « Vu à la télé » … Il suffisait alors de passer à la télé, d’être vu par le plus grand nombre, pour que cela tienne lieu de confiance absolue … L’expérience par soi même passe loin derrière le système de croyances.
Il suffit qu’un comédien revêtu d’une blouse blanche nous assure que tel produit est excellent pour notre santé pour que cette information soit hissée au rang de vérité incontestable.
Les animaux n’ont pas ce problème là. Leur mental est différent du nôtre. Lorsqu’ils reçoivent quelque chose de nouveau comme HYLOS, ils ne se posent aucune question ; ils sont conscients ce qui se passe en eux et comment leur organisme réagit. En général, les résultats obtenus avec les animaux semblent miraculeux.
L’utilisation de HYLOS suppose une attitude mentale qui ressemble à celle des animaux. Car si le mental peut être manipulé (et les techniques de communication et de publicité nous le prouvent tous les jours), il peut lui même influer fortement sur notre façon de nous percevoir et sur nos réactions en fonction de ce que nous croyons, espérons ou craignons. Il convient juste d’observer le plus impartialement possible ce qui se passe en nous.