L’influence des sons sur les hommes comme sur les animaux n’est plus à démontrer. Certaines musiques nous énervent, d’autres nous calment.
Les vaches et les brebis qui écoutent Bach ou Mozart ont une meilleure lactation.
Les thérapies par infrasons et par ultrasons ne font plus débat et sont utilisées couramment par les kinésithérapeutes.
Les sons thérapeutiques Hylos (qui ne sont ni infrasons ni ultrasons) ont des propriétés relaxantes grâce entre autre aux fréquences de Nogier.
POURQUOI DES SONS INAUDIBLES PAR L’OREILLE HUMAINE ?
Les sons Hylos ne sont pas des mélodies à écouter, leur mode d’action est différent. Bien que l’oreille humaine ne les perçoive pas, ils restent des sons (20-20000Hz) dont le volume a été baissé.
Le fait qu’ils soient très faibles et transmis directement dans le corps les rend beaucoup plus efficaces, car ils s’adressent aux aspects les plus subtils en nous.
Faisons l’analogie avec l’électrothérapie : le courant utilisé est de l’ordre du milli-ampère, quasiment imperceptible par l’organisme. Un courant électrique fort provoquerait une réaction réflexe de défense. De même, la faible intensité des sons Hylos leur permet de circuler sans résistance.
L’EAU DU CORPS, VECTEUR DES ONDES SONORES
La part de l’eau est d’environ 65 % du poids total d’un individu adulte. C’est par l’eau qui est présente partout dans le corps que les vibrations d’Hylos pénètrent jusque dans les cellules, là où elles ont besoin d’aller pour effectuer leur travail de détente…
"Le réseau hydrique : un système de communication oublié"
Les manuels de biologie nous enseignent qu’il existe trois systèmes de communication intercellulaire dans l’organisme; le système nerveux, le système immunitaire et le système endocrinien. Cependant, il en existe un quatrième, le plus ancien, le plus rapide… et le moins connu et qui présente une capacité de communication simultanée de toutes nos cellules, grâce aux caractéristiques de l’eau de notre corps. Nous “appellerons le réseau hydrique?
Ce réseau est ubiquitaire dans le corps car l’eau imprègne toutes nos cellules et nos tissus.
Ces derniers sont également au nombre de quatre: le tissu épithélial, le tissu musculaire, le tissu nerveux et le tissu conjonctif.
Nous prendrons ce dernier en exemple pour parler du réseau hydrique parce qu’il est le plus abondant et le plus répandu des tissus (il est présent dans presque tous les organes) et qu’il est de surcroît le grand oublié de l’histologie.
Ce tissu conjonctif qui regroupe les mésenchymes (tissus de soutien), le tissu musculaire, le cartilage, l’os et le sang, est constitué de cellules séparées par de la matrice extracellulaire, contrairement aux épithéliums où les cellules sont jointives.
Cette matrice très abondante par rapport aux autres tissus, contient de grosses fibres (collagène et élastine) et la substance fondamentale composée d’acide hyaluronique à laquelle s’accrochent des molécules de protéoglycanes composées de protéines et de polysaccharides très hydrophiles qui captent énormément de molécules d’eau (30 à 50 fois leur propre poids), pour donner au conjonctif la consistance d’un gel.
Cette eau existe sous deux formes :
- une eau liée aux fibres de protéoglycanes et qui, ordonnée en cristaux, a un rôle de support et d’information;
- une eau libre qui permet les réactions biochimiques nécessaires à la vie tissulaire.
Revue Effervesciences, n° 23, 2002. Cité par Yann Olivaux dans son livre « La nature de l’EAU »